Déjeuner avec le Président Twyman

Une table avait été dressée dans une pièce prévue pour les déjeuners de travail, attenante au bureau de la Chancelière.

Marie-Hélène s'installa, ainsi que le Président Twyman et Anne-May.


Marie-Hélène de Palandier : Vous n'allez pas être déçu. Prendrez-vous un verre de vin pétillant de Cardolane ?

Lukas : Cela sera par-fait ! Avez vous des projets sportif ?

Marie-Hélène de Palandier : Eh bien, écoutez, nous aurons bientôt la Coupe de l'ASLEM, en tout cas je l'espère. Sinon, je crois savoir que la prochaine saison de subrugby commencera dans quelques jours.

(elle aperçoit un domestique) Allez-y, Hubert, vous pouvez servir.




Hubert : Brochettes de lochon grillé au miel noir de Saguenay.

Lukas : Cela à l'air délicieux ! Et ça l'est... Quelle cuisine !
Quand commencent les prochaines élections pour vous ?

Marie-Hélène de Palandier : Au début de l'année prochaine, en tout cas en ce qui me concerne, je parle bien sûr de la sénatoriale.

Avant cela nous aurons une élection municipale à Kaïtaïn, Rebecca Langlette briguera peut-être un 3è mandat. Et en ce moment, nous avons les ParLEMentaires, l'élection du Parlement de la LEM.

Lukas : Pendant que j'y pense, comment vous positionnez vous pourrez rapport au conflit Krassland Zollenberg?

Marie-Hélène de Palandier : Bien évidemment, nous soutenons la Semi-République. Le Krassland est notre allié et lorsque nous avons à choisir entre une micronation qui est notre alliée et une autre qui ne l'est pas, le choix est vite fait.

Hubert, veuillez apporter la suite !




Hubert : Brochettes de lochon braisé et sa sauce piquante

Lukas : Dites donc, le lochon est l'élément phare d'un bon repas me semble-t-il ! Je suis aussi pour Krassland, pour les même raisons que celles que vous avez énoncé. J'ai juste un problème avec tétaou en ce début de mandat, car je veux faire intervenir une équipe de soutien mais les manifestants sont très violents !

Marie-Hélène de Palandier : L'élément-phare, non sérieux, vous croyez ? (elle se tourne vers Anne-May) Si seulement, il savait...

Hubert, la suite, je vous prie !




Hubert : Brochettes de lochon braisé aux pêches d'Écaz.

Lukas : Ah non, pas un élément phare, une institution !

Marie-Hélène de Palandier : Allez, Hubert, envoyez le plat suivant !




Hubert : Médaillons de lochon aux poires et aux haricots du jardin, sauce au vin amer de Cardolane.

Lukas : Toutes les façons de cuisiner le lochon y passeront dites-donc ! Avez-vous une armée?

Marie-Hélène de Palandier : Amenez tout, on fera un tri !




Hubert : Faisan et riz-pundi, sauce aux champignons.




Hubert : Pavé de sanglier aux airelles et purée de potiron.




Hubert : Le plateau de fromage.




Hubert : Le cheese-cake.

Marie-Hélène de Palandier : Une spécialité d'Armara. Il faut dire que notre cuisinier vient de là-bas, alors... Au fait, surtout ne le répétez pas, mais c'est le dessert favori du Prince-Padishah.

Allez hop, après ça, café, pousse-café et ça ira comme ça !

Marie-Hélène de Palandier : Pour répondre à votre question, oui, nous avons une armée. Mais dites-moi, vous ne semblez pas bien renseigné sur Mézénas. Vous n'avez donc pas potassé vos dossiers avant de venir ?

N'importe quel lycéen sait que Mézénas a une armée !

Lukas : Plus précisément, je voulais demander si c'était une grande ou pas. Je vous ai vu intervenir quelque part, mais vous pouvez n'avoir que 1000 hommes et 2 navires ! De plus, j'ai eu quelques problemes durant les élections, car Nug à décidé que le fait de vouloir prendre une armée était un signe d'anarchie ! Pourtant, cela créera des milliers d'emplois et fera de Prya une nation plus présente sur le plan international.

Marie-Hélène de Palandier : Eh bien, je ne sais pas, notre armée ce sont principalement des hommes au sol... Laissez-moi réfléchir... (elle se tourne vers Anne-May) Des avions de chasse, nous en avons 2, je crois, non ?

Anne-May Chartrin : Oui, deux... Attendez, non, un des deux a été abattu dans la guerre contre les Jallanistes. Donc, nous en avons...

Marie-Hélène de Palandier : Un, voilà, c'est ça. Un avion de chasse. Mais alors, attention, c'est un beau, hein, avec tout l'armement qu'il faut. Il nous a coûté 35,000 M$, c'est pas un avion de chasse en papier comme ceux qu'ils construisent en Francovie !

Lukas : Effaré35,000 M§ ??? Et bien... Les troupes au sol c'est bien en fait. Avez-vous des conseils par rapport à cela ?

Marie-Hélène de Palandier : Vous semblez surpris par le prix de notre Phantom. C'est un prix qui se rapproche de ce qui se fait dans le micromonde, du moins chez nos alliés. L'équivalent krasslandais, le SuperDahu, est à 30,000 M$.

Je ne sais pas quel genre de conseil je pourrais vous donner, je ne suis pas expert militaire.

Je comprend... Vous stratèges s'occupent bien de cela j'imagine ! Vous savez, j'ai déjà fait une bourde : je ne suis pas all voir le CSH en premier, honte sur moi !

Marie-Hélène de Palandier : Vous voulez dire la CSH, sans doute. Peut-être devriez-vous vous y rendre très vite. Après la gastronomie mézène, vous allez goûter celle des Scanthélois !

Bien, je crois que cette visite touche à sa fin. J'ai été enchantée de votre venue. Donc, n'oubliez pas l'échange des devises !

Bien sûr, je m'en tiens à l'accord ! Au revoir Mme la chancelière ! Ce fut un plaisir