Dans le centre-ville de Vernii

Rhombur Vernius : Non, cousin, c'est l'usine Pronix ! C'est là que sont fabriqués toutes sortes d'appareils électroniques et de communication, des téléphones portables, par exemple. (il ajouta d'un air mystérieux) On y construit également d'autres produits, dont je ne peux pas vous parler, ce sont des prototypes ultra-secrets.

A présent, je vais vous montrer le lieu d'assemblage des aéronefs d'ACM et d'EMV-Systems, c'est encore plus impressionnant !

Les amis arrivèrent alors devant une autre sphère, cette fois beaucoup plus grande, entièrement faite de métal. A l'intérieur, on apercevait des escaliers, par lesquels les ouvriers montaient pour atteindre une plateforme.


Rhombur Vernius : C'est ici, que sont assemblées les pièces des aéronefs. Celles-ci proviennent d'EMV-Systems, d'ACM et aussi d'Elite Engines, une entreprise publique. Enfin, pour l'instant elle est encore publique, mon père espère bien mettre la main dessus, ce qui fait que nous ne dépendrions de personne pour la construction des aéronefs, mais aussi des vaisseaux de guerre. Ça n'est pas ce que je préfère, mais bon...

Léto Atrèdes : Vous ne nous avez pas trompé, mon cousin, cet endroit est réellement impressionnant ! Pourquoi dites-vous que ça n'est pas la construction de vaisseaux de guerre que vous préférez ? Est-ce parce que ce sont des engins de mort ? Ils nous permettent également d'assurer notre sécurité, vous savez.

Rhombur Vernius : Vous avez raison ! Mais moi, je suis - et de loin - bien plus intéressé par les aéronefs de transport !

Léto Atrèdes : A vous entendre, on dirait que vous souhaiteriez devenir un jour un Navigateur !

Rhombur Vernius : C'est précisément mon ambition, depuis le jour de la création de la Guilde !

Rhombur Vernius : Allez, il est temps de rentrer, à présent. Père et Kailea nous attendent. Et ce soir, on sort le barbecue et ce sera brochettes de lochon pour tout le monde !

Léto Atrèdes : Ah, le lochon ! La viande la plus succulente de ce côté du paradis !

Quelques jours plus tard Augustin revenu seul devant les différents bâtiments il prit quelques photos et fit des visites en ville, quand d'un coup plusieurs hommes lui mirent un foulard sur la bouche pour l'empêcher de crier et les hommes commencèrent à marcher discrètement avec Augustin ligoté en pleine rue .

Mon garçon croit moi on tira un bon prix de toi au marché noir au bangana quelle chance que tu sois seul

Les hommes commencèrent a rigoler tout en marchant sur le trottoir .

Augustin réussi discrètement a faire tomber une broche qu'il portait sur lui en permanence, l'emblème familial de sa mère, une broche représentent une main, par chance les kidnappeurs n'avaient pas de voiture, il attendit de voir s'il passerait par la route de ravitaillement où les cargaisons transitées vers la demeure familiale, puis finalement il  jeta la broche discrètement au sol, un tel objet fait en partie d'or ne passerait sûrement pas inaperçu surtout sur une route étroitement surveiller par la police de temps en temps .

Deux soldats Vernius faisaient leur ronde, en bavardant tranquillement.


1er soldat : Et là, la nana elle me dit que c'est pas à elle de payer le resto et...

2è soldat : Oh, regarde un peu ça ! (il ramasse la broche) C'est pas au petit Vernius, cette broche ?

1er soldat : Mais dis donc, oui, tu as raison ! Vite, amenons ça au Comte !


Et les deux soldats prirent alors la direction de la demeure des Vernius.

Un convoi d'hommes armée arriva au lieux de rencontre avec Augustin bâillonner et avec un foulard sur les yeux .

Le Comte arriva, accompagné d'un seul soldat Vernius. Ce dernier tenait à la main une mallette.


Dominic Vernius : Augustin, tu n'as rien ? Par Saint Sevan, vous n'êtes qu'une bande de lâches, vous en prendre à un enfant ! J'ai apporté les 5,000 M$, comme convenu. (se tournant vers le soldat) Montrez-lui l'argent.


Le soldat ouvrit la mallette, elle contenait des billets.

Augustin : Ça va bien , ils m'ont juste couper des cheveux

Kidnappeur - Bon maintenant l'argent mon bon monsieur

Le Comte fit un signe au soldat. Celui-ci s'avança avec la mallette mais s'arrêta à mi-chemin.


Dominic Vernius : A présent, relâchez Augustin, qu'il vienne dans notre direction et se mette à hauteur du soldat. Ce dernier posera la mallette et reviendra vers moi avec l'enfant.

-Kidnappeur : J'ai une meilleure idée , vous le garde tu bouge tu et mort , vous monsieur avancer doucement vers moi pas de geste brusque

Le Kidnappeur avait profiter que le soldat soit sans arme pour braquer les deux individus

Dominic Vernius : Faisons comme je l'ai dit, c'est un conseil que je vous donne.

Kidnappeur : Discuter pas a vous seule votre valeur dépasse la somme de votre neveu , aller direction vers moi immédiatement le vieux !

Dominic Vernius : 10 soldats Vernius vous ont en ce moment dans leur ligne de mire. Un geste de ma part et vous êtes tous morts !

Alors faites ce que je dis, vous relâchez l'enfant, le soldat pose la mallette et il revient avec Augustin jusqu'à moi, vous repartez avec l'argent et tout le monde est content, sans bain de sang !

Les Kidnappeurs suivirent les conseils du chef vernius a la lettre .

Le kidnappeur prit la valise

-Heureux de vous avoir rencontré famille vernius

Ensuite, tout se passa très vite.

Une voiture déboula à toute vitesse. La porte s'ouvrit, Léto était au volant.


Léto Atrèdes : Comte Vernius, montez vite !

Dominic Vernius : Soldat, venez avec Augustin !


Le soldat s'exécuta, il courut vers la voiture, accompagné du jeune Vernius. Ils s'engouffrèrent dans le véhicule, la nouvelle Omicron C11, qui redémarra aussitôt et partit au loin.


Dominic Vernius (tapotant sur l'épaule de Léto) : Bien joué, mon garçon ! (se tournant vers le soldat) Vous aussi, Luther !


"Luther ? Le mentat des Vernius ?" Devant la mine stupéfaite d'Augustin, le Comte s'expliqua.


Dominic Vernius : Notre mentat Luther a accepté très courageusement de jouer le rôle du soldat. Bien sûr, tout ceci était du bluff, il n'y a jamais eu de soldats Vernius pointant leurs armes sur ces pauvres imbéciles ! Luther a estimé que les kidnappeurs avaient 3 chances de 4 de tomber dans ce piège.

Luther Pavonis : Pardon, Mon Seigneur, très exactement 77,8% de chances. Et ce sont bien évidemment des faux billets qui se trouvent dans la mallette.

Dominic Vernius : Mais nous serons loin quand ils s'en apercevront !

Luther Pavonis : Je dois dire que je me suis particulièrement bien amusé de cette... farce ! Même si le mot est inapproprié, je vous le concède.

Dominic Vernius : L'important est qu'Augustin soit sain et sauf !

Augustin fut légèrement déboussolé après cette drôle de scène, surtout avec temps d'émotions .

Augustin : Incroyable je croyais qu'il allait me tuer, moi qui voulais juste visiter la ville