La Gazette De Kaora - Articles du mois de Décembre 2018 -

Présidence Renlow, vers une diplomatie à la Muller ?

La diplomatie micromondiale est-elle encore sous l'influence du terroriste et ex-SG de l'ONA déchu Julius Muller ?
Au vu de la position du président Pryan Mathias Renlow, rapportée par nos confères Mézènes de Closet, il semble que ce soit bel et bien le cas. Alors que la tension monte entre l'Union Trans-Océane et le royaume de Francovie, le président Pryan aurait soumis comme solution à la crise de "demander à l'Union Trans-Océane d'annexer le bangana".

Alors que la crise s'est vu enfler progressivement dans une indifférence de l'ONA et des nations du micromonde, la voix pryanne est restée silencieuse plusieurs jours. Un silence qui a prit fin avec la nomination d'Arthur Duvalon comme représentant de Prya à l'ONA. Un remède au mal ? Pourtant il semble que la position Pryanne ne soit pas claire. Arthur Duvalon rappelé au Pays probablement pour faire enfin émerger une voix pryanne, a indiqué que d'un point de vue économique il était contraire aux intérêts pryans qu'une opération militaire soit lancée. Une position avec des arrières pensées pour le moins compliquées à défendre, mais pas plus que celle de la Francovie qui souhaite "mettre en place une guerre rapide et très propre".

La proposition pryanne du président, qui n'a pas été évoquée par le représentant Duvalon (qui a admis en séance ne pas avoir eu le temps de se concerter avec le président Renlow), pourrait ajouter de l'huile sur le feu ou faire perdre beaucoup à la voix pryanne sur la scène diplomatique, sans compter le difficile équilibre entre les nations concernées à la LEM pour qui il sera compliqué de travailler après cette crise, L'Union Trans-Océane envisagerait même de demander l'exclusion de la LEM.
Mais la proposition du président Renlow n'a toutefois pas été officialisée par la présidence, les propos ayant été rapportés par un média Mézène après que le chancelier Peyranne soit sorti du bureau du président Renlow.

L'Union Trans-Océane de son coté a rappelé ses responsabilités à l'ONA, en particulier de ne pas tolérer ce qui ressemblerait à une prise de territoire. L'ONA, il est vrai, a mis du temps à réagir. Pour autant est-ce cette prise de position de l'Union qui aurait poussé le président Renlow à envisager une solution aussi radicale que curieuse, que l'Union ne demandait pas semble t-il ? Maladresse ou bien y aurait-il d'autres intérêts en jeu ?
Cette solution pourrait donc être écartée, tout comme la voix pryanne et au moment ou nous bouclons cette article une issue sans victime est loin d'être envisagée, alors que l'ONA aurait pu se porter garante de la tenue d'élections dans le pays afin de faire émerger une voix dans le pays, une nouvelle fois c'est la voix des armes qui semble être privilégié par l'ONA.
Claire Loderoche