Zootopia juillet/août 2019 - Réserve naturelle du Mont Kitassia
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Zootopia juillet/août 2019 - Réserve naturelle du Mont Kitassia
-Patron, la bête s'allume pas
-S'allume pas ? Mais si j'ai réussi à le sortir de son hangar pour le transporter par camion jusqu'ici, aucune raison que ça marche plus. Quand tu tournes la clé ça fait quoi ?
-La clé ? j'essaie tous les boutons, on utilise plus de clés pour les voitures.
-Andouille, regarde derrière le pare soleil, allez poussez toi.
Max prit la position du siège conducteur, le vieux véhicule toussa une demi seconde et démarra comme en 2003. Il reprit les vieux plans et la maquette descriptive du véhicule. C'était une conception d'un autre temps, peut-être que si les explorations devenaient plus régulière demander l'acquisition et/ou la recherche de nouvelles fonctionnalités pourraient être une bonne idée. En attendant même si la peinture avait vieilli et qu'il était loin de sentir le neuf, l'engin allait sans doute fonctionner. Max vérifia les communications, ils souhaitaient rester en contact avec son groupe et ses collaborateurs pour gérer les affaires courantes.
La maquette était bien foutu pensa t-il même si certains plans étaient bien trop obscur à ses yeux.
Comme pour la première expédition c'est à Tindali que celle ci commencerait avec la réserve naturelle du Mont Kitassia, un hommage aux premiers explorateurs de la faune et de la flore pryanne comme Lars Bohinen et Boris Svodoba. Mais cette fois ci le véhicule ne parcourerait pas tout le pays. Si Max avait de l'admiration pour l'engin, il préférait ne pas lui infliger trop de routes pour redémarrer.
Il était accompagné de son bras droit depuis toujours Gontran de la Pochepercée et du docteur en biologie Karl Defecsec de l'université de Kaora, il l'avait convaincu de remettre à plus tard ses congés. L'Explonem pouvait accueillir 6 personnes, mais 3 étaient déja un bon début, cela ferait aussi plus de place pour des échantillons et le matériel de recensement pour l'université.
Ainsi en ce dimanche soir du 28 juillet les 3 hommes se mirent en route pour essayer de découvrir et recenser de nouvelles espèces animales et végétales du territoire pryan. Ils espéraient ainsi faire le tour des quatre provinces cet été et pourquoi pas le territoire fantispais et les autres iles pryannes. Il y avait tant à faire dans le domaine.
Après quelques kilomètres réalisés, Max laissa le volant au docteur Defecsec pour s'installer dans la bulle d'observation afin de tester le matériel d'observation, le radar ou encore le bras articulé. Il prit aussi soin de commencer son journal de bord, ses impressions et espérait-il, ses nombreuses découvertes.
-S'allume pas ? Mais si j'ai réussi à le sortir de son hangar pour le transporter par camion jusqu'ici, aucune raison que ça marche plus. Quand tu tournes la clé ça fait quoi ?
-La clé ? j'essaie tous les boutons, on utilise plus de clés pour les voitures.
-Andouille, regarde derrière le pare soleil, allez poussez toi.
Max prit la position du siège conducteur, le vieux véhicule toussa une demi seconde et démarra comme en 2003. Il reprit les vieux plans et la maquette descriptive du véhicule. C'était une conception d'un autre temps, peut-être que si les explorations devenaient plus régulière demander l'acquisition et/ou la recherche de nouvelles fonctionnalités pourraient être une bonne idée. En attendant même si la peinture avait vieilli et qu'il était loin de sentir le neuf, l'engin allait sans doute fonctionner. Max vérifia les communications, ils souhaitaient rester en contact avec son groupe et ses collaborateurs pour gérer les affaires courantes.
La maquette était bien foutu pensa t-il même si certains plans étaient bien trop obscur à ses yeux.
Découvrez l'EXPLONEM
L'engin d'exploration scientifique d'Austral
La création du véhicule d'exploration tout-terrain
Tout a commencé par une commande du Ministre de l'Environnement de Prya, Lars Bohinen. Le ministre souhaitait pouvoir lancer des explorations en terrain difficile. Le véhicule qu'il appelait de ses voeux devait pouvoir franchir tous les obstacles mais aussi servir de camp de base pour une longue durée et permettre l'observation de la faune.
Les services du ministère avait déjà tracé les grandes lignes de ce véhicule, en fonction des spécificités souhaitées. Il ne restait plus qu'à trouver un constructeur.
Les plans techniques de l'Explonem
Une nouvelle réussite technique Austral
Lorsque Austral Prya a reçu les ébauches du ministère, plus d'un ingénieur a déclaré le projet irréalisable. Pourtant, après de longs efforts et plusieurs percées technologiques, Austral parvient à construire un prototype répondant au cahier des charges.
l'Explonem
Quels sont les atouts de l'Explonem ?
C'est un véhicule tout-terrain qui bénéficie de la longue expérience d'Austral dans ce domaine. Quatre chenilles indépendantes ont été placées à bonne distance de l'habitacle.
Un laboratoire d'étude peut être installé au coeur de l'Explonem : des batteries puissantes rechargés par panneaux solaires fournissent une électricité de forte intensité.
Un radar permet de suivre des déplacements aériens de petits objets (oiseaux par exemple) jusqu'à une remarquable distance : 7 kilomètres.
La bulle d'observation est élevable jusqu'à 8 mètres au-desssus du sol.
Une plate-forme arrière équipée de bras articulés est déployable.
Caractéristique technique de l'Explonem Austral
Illustration
Deux images techniques sont disponibles :
les plans techniques . A ne consulter que si vous êtes un spécialiste.
le véhicule arborant des couleurs unies . Idéal pour mieux voir le détail des éléments.
Coût de production
Les caractéristiques de l'Explonem ne peuvent être décrites à l'aide des simples Règles Cyva. Austral a donc fait appel aux Règles Tehla pour définir le coût de construction.
Voici le détail :
Lieux de vie : une cabine de pilotage pour 2 personnes, une salle commune pour 6, un laboratoire pour 6. Le tout avec un luxe "confortable". TOTAL : 8 PP
Véhicule : transport de 15 personnes avec confort, une soute comme une grande pièce, un équipement d'observation, un radar, un laboratoire, un bras articulé. TOTAL : 12 PP, 9 points moteur
Bulle d'observation. TOTAL : 4 PP, 4 points moteur.
Moteur : vitesse lente (tracteur) mais tout-terrain. TOTAL : 19 PP
TOTAL : 43 PP
Et enfin, voici la description (sommaire) selon les Règles CYVA :
CLASSE LUXE PERF FIAB PP
5 2 1 3 43
Comme pour la première expédition c'est à Tindali que celle ci commencerait avec la réserve naturelle du Mont Kitassia, un hommage aux premiers explorateurs de la faune et de la flore pryanne comme Lars Bohinen et Boris Svodoba. Mais cette fois ci le véhicule ne parcourerait pas tout le pays. Si Max avait de l'admiration pour l'engin, il préférait ne pas lui infliger trop de routes pour redémarrer.
Il était accompagné de son bras droit depuis toujours Gontran de la Pochepercée et du docteur en biologie Karl Defecsec de l'université de Kaora, il l'avait convaincu de remettre à plus tard ses congés. L'Explonem pouvait accueillir 6 personnes, mais 3 étaient déja un bon début, cela ferait aussi plus de place pour des échantillons et le matériel de recensement pour l'université.
Ainsi en ce dimanche soir du 28 juillet les 3 hommes se mirent en route pour essayer de découvrir et recenser de nouvelles espèces animales et végétales du territoire pryan. Ils espéraient ainsi faire le tour des quatre provinces cet été et pourquoi pas le territoire fantispais et les autres iles pryannes. Il y avait tant à faire dans le domaine.
Après quelques kilomètres réalisés, Max laissa le volant au docteur Defecsec pour s'installer dans la bulle d'observation afin de tester le matériel d'observation, le radar ou encore le bras articulé. Il prit aussi soin de commencer son journal de bord, ses impressions et espérait-il, ses nombreuses découvertes.
Max Morton- Ministre des Affaires Etrangères
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Re: Zootopia juillet/août 2019 - Réserve naturelle du Mont Kitassia
Journal de Bord de Max Morton, lundi 29 juillet 2019 :
La première journée s’est très bien déroulée, nous avons fait beaucoup de route pour rejoindre le cœur de la réserve naturelle du Mont Kitassia. L’Explonem a parfaitement fait son travail en particulier le laboratoire embarqué. Au cours de la matinée nous avons relevé quelques échantillons du sol, de différents végétaux masi tous déja connus et le docteur Defecsec ne pense pas qu’il y aura quelque chose d’intéressant. Néanmoins ces échantillons serviront à la collection de l’université.
Dans l’après midi nous avons aperçu de nombreux petits dions ou ce que nous avons peut-être cru être des dions. Gontran au volant a tracé son chemin puisque ces petits animaux étaient déjas connus. Cependant lors d’une pause ou il a fallut vider le réservoir des toilettes du à quelques rations pas très fraiches nous avons finalement douté sur le cas des dions. Pendant la pause nous avons cru voir des noix de cocos au sol, le docteur Defecsec était sceptique, les noix de cocos à Tindali sont plutôt dans le sud près des plages. Je me suis alors approche et je me suis aperçu que la « noix » ne semblait pas aussi dur qu’une noix classique, en la prenant en main j’ai constaté que nous avions affaire à un petit animal de la taille d’un dion. Mais lorsque l’on s’approche de lui il semble se replier sur lui même et se contracter ressemblant à une noix de coco.
"Le Coglonoi"Dans l’après midi nous avons aperçu de nombreux petits dions ou ce que nous avons peut-être cru être des dions. Gontran au volant a tracé son chemin puisque ces petits animaux étaient déjas connus. Cependant lors d’une pause ou il a fallut vider le réservoir des toilettes du à quelques rations pas très fraiches nous avons finalement douté sur le cas des dions. Pendant la pause nous avons cru voir des noix de cocos au sol, le docteur Defecsec était sceptique, les noix de cocos à Tindali sont plutôt dans le sud près des plages. Je me suis alors approche et je me suis aperçu que la « noix » ne semblait pas aussi dur qu’une noix classique, en la prenant en main j’ai constaté que nous avions affaire à un petit animal de la taille d’un dion. Mais lorsque l’on s’approche de lui il semble se replier sur lui même et se contracter ressemblant à une noix de coco.
Je lui ai donné le nom de « Coglonoi ». l’animal semble être inoffensif, même quand je l’ai pris en main il n’a pas cherché à fuir ou à se montrer agressif. Mais replié sur lui même il ressemble vraiment à une noix de coco, avec un trou qui semble donné sur èun de ses yeux et une démarcation au milieumarquant ce repli.
Une fois rentré dans l’Explonem nous avons passé la fin de la journée à l’observer, lui et plusieurs de ses congénères en hauteur depuis la bulle d’observation. Quant la voie lui a semblé dégagé il est parti, nous avons pu voir que plusieurs membres de l’espèces se nourrissaient d’insectes ou de vers de terre.
Nous avons essayé avec Gontran de réalisé un dessin du Coglonoi repléi sur lui même. Nous nous demandons aussi comment un petit animal à pu avoir autant de ressemblance avec un fruit, est ce le résultat de l’évolution, pourquoi la noix de coco en particulier ici dans les montagnes du Mont Kitassia. Des recherches plus poussées pourraient être intéressantes.
A la fin de la journée alors que j’appelais mon bureau j’ai aussi constaté des interférences, en particulier en me rapprochant près d’un arbre, nous avons relevé plusieurs végétaux différents pour voir si il y avait un éventuel rapport. Nous en serons plus demain quand les expériences seront terminées.
Une fois rentré dans l’Explonem nous avons passé la fin de la journée à l’observer, lui et plusieurs de ses congénères en hauteur depuis la bulle d’observation. Quant la voie lui a semblé dégagé il est parti, nous avons pu voir que plusieurs membres de l’espèces se nourrissaient d’insectes ou de vers de terre.
Nous avons essayé avec Gontran de réalisé un dessin du Coglonoi repléi sur lui même. Nous nous demandons aussi comment un petit animal à pu avoir autant de ressemblance avec un fruit, est ce le résultat de l’évolution, pourquoi la noix de coco en particulier ici dans les montagnes du Mont Kitassia. Des recherches plus poussées pourraient être intéressantes.
A la fin de la journée alors que j’appelais mon bureau j’ai aussi constaté des interférences, en particulier en me rapprochant près d’un arbre, nous avons relevé plusieurs végétaux différents pour voir si il y avait un éventuel rapport. Nous en serons plus demain quand les expériences seront terminées.
Max Morton- Ministre des Affaires Etrangères
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Re: Zootopia juillet/août 2019 - Réserve naturelle du Mont Kitassia
Journal de Bord de Max Morton, mardi 30 juillet 2019 :
Nous avons repris la route ce matin laissant derrière nous une famille de Coglonois pour nous diriger vers le Mont Kitassia, les chenilles de l’explonem ont souffert mais nous avons réussi à trouver un chemin relativement sur pour éviter tout accident. Nous avons surpris plusieurs oiseaux à partir de la bulle d’observation, mais nous n’avons pas réussi à les identifier pour le moment. Ils semblent que le sommet, la fraîcheur peut-être, les attirent. Par contre nos analyses sur les végétaux ramassés hier se sont terminés, j’ai pu constater qu’en particulier, une plante qui se trouve près des arbres avec de grandes feuilles larges et cisaillés pourrait avoir une application concrète dans l’humanitaire. Dans un premier temps elle contiendrait d’un élément chimique en grande quantitié, la Riode, extrait cet élément pourrait aider dans le traitement de personnes qui viendrait d’être touché par des radiatons. Il faudra pousser les recherches, pour développer un traitement mais le docteur Defecsec semble optimiste.
Plus surprenant encore, la plante que j’ai appelé « Prygère » semble absorber les radiations lors d’un contact. Tout comme la présence de la Riode, cette plante aurait pu être un sacré atout à la fois au Mazambala et sur le territoire fantispais. Peut-être un qu’expédier des plants vers le territoire pourrait contribuer à réduire les radiations. Dès son retour à l’université le professeur Defecsec travaillera sur cette plante en priorité, si nous pouvions aller au bout de nos objectif ce serait une sérieuse avancée dans le domaine médical et humanitaire. A l’heure ou les Etats se dotent d’armes les plus meurtrières, envisager des remèdes pour les populations qui subissent les délires belliqueux de quelques uns.
Plus surprenant encore, la plante que j’ai appelé « Prygère » semble absorber les radiations lors d’un contact. Tout comme la présence de la Riode, cette plante aurait pu être un sacré atout à la fois au Mazambala et sur le territoire fantispais. Peut-être un qu’expédier des plants vers le territoire pourrait contribuer à réduire les radiations. Dès son retour à l’université le professeur Defecsec travaillera sur cette plante en priorité, si nous pouvions aller au bout de nos objectif ce serait une sérieuse avancée dans le domaine médical et humanitaire. A l’heure ou les Etats se dotent d’armes les plus meurtrières, envisager des remèdes pour les populations qui subissent les délires belliqueux de quelques uns.
Max Morton- Ministre des Affaires Etrangères
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Re: Zootopia juillet/août 2019 - Réserve naturelle du Mont Kitassia
Journal de bord de Max Morton, samedi 3 aout 2019.
Le reste de la semaine n’avait donné lieu à d’autres découvertes, excepté le dernier jour, un arbre sous a surpris. En montant le mont Kitassia, nous avons du laisser l’Explonem sur le chemin, l’accès devenait trop difficile pour le véhicule. Nous avions un équipement limité pour randonnée plus d’une journée. Nous avons donc décidé de terminer la montée puis de redescendre au véhicule. La vue en haut du mont était magnifique, elle offrait un panorama sur l’ensemble de la province de Tindali. Au loin on distinguait aussi le début des grandes plaines de Zantavia. C’est un fruit sur un arbre qui a attiré notre attention, il avait un large diamètre de 10 à 15 cm et pouvait avoir une hauteur de 20 cm, entouré d’une épaisse peau qu’il était difficile à enlever. De loin l’arbre ne nous avait pas surpris, en observant plusieurs de ses congénères nous avons découvert que tous avaient la caractéristique d’être large et les branches s’étendaient sur plusieurs mètres malgré le poids que pouvait représenter les fruits sur l’arbre. Certes les troncs avaient aussi une largeur conséquente, un bois qui semblait résistant. La sensible fraicheur du sommet (environ 1200 mètres pour le mont Kitassia) ne semble pas être un obstacle au développement de ces fruits.
Nous avons ramené plusieurs fruits, que nous avons appelé Drèche fruit du Drechiet. L’explonem nous a confirmé sa comestibilité, c’est une bonne chose pour leur utilisation.
Le drechiet :
La drèche, fruit du drechiet :
Après cette découverte et cette journée fatigante nous avons décidé de redescendre. La prochaine étape serait les plaines de Zantavia. Sans doute aussi nos quelques recensements pourront être l’objet de diverses recherches.
Enfin autre bonne découverte, nous avons trouve un vieux manuel dans la partie d’habitation du module. Ce manuel rapporte des plantes du micromonde que le laboratoire Calisto avait enregistrées au début des années 2000.
Le reste de la semaine n’avait donné lieu à d’autres découvertes, excepté le dernier jour, un arbre sous a surpris. En montant le mont Kitassia, nous avons du laisser l’Explonem sur le chemin, l’accès devenait trop difficile pour le véhicule. Nous avions un équipement limité pour randonnée plus d’une journée. Nous avons donc décidé de terminer la montée puis de redescendre au véhicule. La vue en haut du mont était magnifique, elle offrait un panorama sur l’ensemble de la province de Tindali. Au loin on distinguait aussi le début des grandes plaines de Zantavia. C’est un fruit sur un arbre qui a attiré notre attention, il avait un large diamètre de 10 à 15 cm et pouvait avoir une hauteur de 20 cm, entouré d’une épaisse peau qu’il était difficile à enlever. De loin l’arbre ne nous avait pas surpris, en observant plusieurs de ses congénères nous avons découvert que tous avaient la caractéristique d’être large et les branches s’étendaient sur plusieurs mètres malgré le poids que pouvait représenter les fruits sur l’arbre. Certes les troncs avaient aussi une largeur conséquente, un bois qui semblait résistant. La sensible fraicheur du sommet (environ 1200 mètres pour le mont Kitassia) ne semble pas être un obstacle au développement de ces fruits.
Nous avons ramené plusieurs fruits, que nous avons appelé Drèche fruit du Drechiet. L’explonem nous a confirmé sa comestibilité, c’est une bonne chose pour leur utilisation.
Le drechiet :
La drèche, fruit du drechiet :
Après cette découverte et cette journée fatigante nous avons décidé de redescendre. La prochaine étape serait les plaines de Zantavia. Sans doute aussi nos quelques recensements pourront être l’objet de diverses recherches.
Enfin autre bonne découverte, nous avons trouve un vieux manuel dans la partie d’habitation du module. Ce manuel rapporte des plantes du micromonde que le laboratoire Calisto avait enregistrées au début des années 2000.
Max Morton- Ministre des Affaires Etrangères
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