Sommet Économique de Cardoville
Page 1 sur 1
Sommet Économique de Cardoville
Le Sommet Économique réunit de nombreux acteurs de la vie politique, sociale et économique de Mézénas. Il se tiendra pendant 5 jours à Cardoville, capitale du Duché de Cardolane, et se conclura par la rédaction d'un Code Économique, qui sera soumis à un vote du Parlement.
Présidé et dirigé par la Chancelière Marielle de Falaise, le sommet a pour ambition de fixer les règles de fonctionnement de l'économie mézène afin de lui permettre d'être performante, sans oublier le rôle de l'État, la collecte d'impôts et de taxes, d'encadrer la création d'entreprises et les salaires, et de mettre en place la solidarité nationale.
Paul Pathyne- Messages : 2070
Date d'inscription : 16/11/2016
Age : 76
Re: Sommet Économique de Cardoville
En début d'après-midi, la Chancelière Marielle de Falaise a donné un discours, dans lequel elle a rappelé les objectifs du Sommet de Cardoville. Puis se sont succédé divers orateurs, le Ministre de l'Économie Dominique Sillard-Guérin, puis Gilbert de la Pommeraie, le représentant du Prince-Padishah au Landsraad.
Ensuite, des groupes de travail ont été formés. Au programme de la journée, le rôle de l'État dans l'économie mézène, les créations d'entreprises et les salaires.
Paul Pathyne- Messages : 2070
Date d'inscription : 16/11/2016
Age : 76
Re: Sommet Économique de Cardoville
Le Sommet s'est poursuivi hier avec au programme, des discussions ont tourné autour de la solidarité nationale et du salaire minimum.
Arnaud Chapuis, élu au Sénat et représentant le Mouvement Luniniste révolutionnaire, a dénoncé le montant du salaire miinmum, disant qu'il était très difficile de vivre avec moins de 900 M$ par mois et que, de plus, dans le même temps certains gagnaient 4, voire 5 fois plus, ce qui était insupportable et indécent. Il a exhorté les personnes participant au sommet à faire quelque chose à ce niveau.
Il a été soutenu par Jean-Marc Matinot, le leader du Syndicat National du Travail, mouvance merksiste, qui a dit que si rien n'était fait, des grèves étaient à prévoir. Jean Peyranne a lui aussi plaidé pour une augmentation substantielle.
Martine Langlois, à la tête du MEDEM, le Mouvement des Entreprises Mézènes, a tenté d'argumenter face aux trois hommes, disant qu'au nom de la compétitivité des entreprises, il ne fallait pas augmenter les salaires de façon trop brutale et elle s'est prononcée pour une hausse mesurée. C'est à ce moment-là que la discussion a dégénéré, les uns et les autres s'invectivant.
Il a fallu l'intervention de la Chancelière pour calmer tout le monde. Marielle de Falaise a dit qu'elle verrait ultérieurement ce qu'il était possible de faire mais a fermement rejeté les menaces de grèves, les assimilant à du chantage. "Ce n'est pas la rue qui gouverne dans ce pays !", a-t-elle déclaré. Puis tout le monde s'est séparé.
Au menu d'aujourd'hui, le budget de l'État, les emprunts à la Banque Fédérale, les recettes et les dépenses de l'État, avec la mise en place d'impôts et de taxes.
Arnaud Chapuis, élu au Sénat et représentant le Mouvement Luniniste révolutionnaire, a dénoncé le montant du salaire miinmum, disant qu'il était très difficile de vivre avec moins de 900 M$ par mois et que, de plus, dans le même temps certains gagnaient 4, voire 5 fois plus, ce qui était insupportable et indécent. Il a exhorté les personnes participant au sommet à faire quelque chose à ce niveau.
Il a été soutenu par Jean-Marc Matinot, le leader du Syndicat National du Travail, mouvance merksiste, qui a dit que si rien n'était fait, des grèves étaient à prévoir. Jean Peyranne a lui aussi plaidé pour une augmentation substantielle.
Martine Langlois, à la tête du MEDEM, le Mouvement des Entreprises Mézènes, a tenté d'argumenter face aux trois hommes, disant qu'au nom de la compétitivité des entreprises, il ne fallait pas augmenter les salaires de façon trop brutale et elle s'est prononcée pour une hausse mesurée. C'est à ce moment-là que la discussion a dégénéré, les uns et les autres s'invectivant.
Il a fallu l'intervention de la Chancelière pour calmer tout le monde. Marielle de Falaise a dit qu'elle verrait ultérieurement ce qu'il était possible de faire mais a fermement rejeté les menaces de grèves, les assimilant à du chantage. "Ce n'est pas la rue qui gouverne dans ce pays !", a-t-elle déclaré. Puis tout le monde s'est séparé.
Au menu d'aujourd'hui, le budget de l'État, les emprunts à la Banque Fédérale, les recettes et les dépenses de l'État, avec la mise en place d'impôts et de taxes.
Paul Pathyne- Messages : 2070
Date d'inscription : 16/11/2016
Age : 76
Re: Sommet Économique de Cardoville
Finalement, il avait été convenu qu'une hausse du salaire minimum allait être prochainement discutée lors d'une réunion avec les syndicats. Puis on avait fixé une grille de salaires pour l'ensemble des salariés de la fonction publique, juste avant de parler des cotisations salariales.
La veille, la journée a été entièrement consacrée à la Bourse de Kaïtaïn, la Chancelière voulait qu'elle devienne la première place financière du continent sud, rivalisant avec celle de Neu Krassburg.
Il a beaucoup été question de stock-options, mais l'idée a été finalement abandonnée car très difficile à mettre en place.
Puis une longue discussion a eu lieu concernant les OPA, un sujet qui a enthousiasmé Gilbert de la Pommeraie, représentant du Prince-Padishah et Président du Landsraad, et Jean-François Alderman ainsi que la très libérale Séréna Butler, qui ont applaudi aux mesures mises en oeuvre.
Depuis ce matin, des experts-juristes et des mentats-économistes ont entamé la longue rédaction du Code Économique, s'aidant des notes qu'ils avaient prises tout au long du sommet. Il comporterait pas moins de 40 articles, répartis en 10 chapitres ! Les parlementaires auraient de la lecture avant de voter le texte qui devait entrer en application avant la fin du mois.
La veille, la journée a été entièrement consacrée à la Bourse de Kaïtaïn, la Chancelière voulait qu'elle devienne la première place financière du continent sud, rivalisant avec celle de Neu Krassburg.
Il a beaucoup été question de stock-options, mais l'idée a été finalement abandonnée car très difficile à mettre en place.
Puis une longue discussion a eu lieu concernant les OPA, un sujet qui a enthousiasmé Gilbert de la Pommeraie, représentant du Prince-Padishah et Président du Landsraad, et Jean-François Alderman ainsi que la très libérale Séréna Butler, qui ont applaudi aux mesures mises en oeuvre.
Depuis ce matin, des experts-juristes et des mentats-économistes ont entamé la longue rédaction du Code Économique, s'aidant des notes qu'ils avaient prises tout au long du sommet. Il comporterait pas moins de 40 articles, répartis en 10 chapitres ! Les parlementaires auraient de la lecture avant de voter le texte qui devait entrer en application avant la fin du mois.
Paul Pathyne- Messages : 2070
Date d'inscription : 16/11/2016
Age : 76
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|